Une journée comme les autres... Ou presque ! [ PV : Stella Bonasera ]

Cela faisait un mois, un mois entier que William Rayan Olsen avait terminer ses Études pour devenir Agent de Police dans la ville de New-York. Le fils ainé de la famille Olsen avait un grand avenir déjà tracer pour suivre les traces de son cher père, Rayan, dans le domaine de trafics et fabricants d’armes en tout genre. William n’y voyait aucun inconvénient… Honnêtement, depuis son jeune âge, son père lui avait tout apprit et semblait si fière de lui chaque fois qu’il démontrait de l’intérêt aux sujets de leur ‘’affaire familial’’. Rendre son père fière de lui, c’était un grand honneur pour William. Comme tout bon fils, il voulait seulement attirer l’amour de son paternel. Plus il grandissant et plus William devenait intéressé, à peine âgé de 8 ans son père lui avait déjà apprit le fonctionnement de tout les armes qu’il fabriquait. À ses 16 ans, Rayan avait fait de son fils son bras-droit. William était heureux, de pouvoir se rendre utile et faire la fierté de son cher père tant aimer. Même sa mère, Marry, semblait si fière de le voir agir ainsi. Mais alors… Pourquoi William avait-il fait ce soudain changement, de devenir Agent de Police ?

La vengeance ! Voilà pourquoi ! William avait vue sa sœur cadette, Julia, mourir sous ses yeux. Mais pas de la main d’un criminel. De la main d’un flic, c’était un policier qui avait tiré une balle en plein dans la tête de sa petite sœur-chérie ! Heureusement pour lui, William avait prit fuite juste attend et le flic en question n’avait pas eut le temps de voir son visage. Mais, cela signifie aussi que William n’as pas eut le temps de voir la sale troche du flic coupable de la mort de sa sœur. C’est depuis ce jour, que le fils ainé de la famille Olsen est rongé part la haine et aussi la tristesse. Une colère tellement grande, que jour et nuit il se mit à imaginer un plan pour pouvoir venger la mort de sa sœur. C’est donc avec cette idée en tête, que le jeune William à peine âgé de ses 18 ans quitta le manoir familial pour vivre sa propre vie de façon plus discrète. Il se fit oublier de tous, faisant croire qu’il désirait une vie normale et loin des ‘’affaires familial’’. Il changea de nom et se créa une nouvelle identité : Jake Rosen.

Devenue Jake Rosen, il s’engageas aux Études afin de devenir Agent de Police. Malgré qu’il c’était fait oublier, le seul contact qu’il garda était avec sa mère et son père. Après quelques temps, William leur fit part de son plan. Car oui, il avait un plan qu’il avait mûrement réfléchit. Il voulait faire en sorte de devenir Agent de Police, se faire aimer et apprécier d’eux… Se faire croire pour l’un des leur, afin de pouvoir se mettre à traquer l’assassin de sa sœur. Ce flic, il devait le payer. Il alla souffrir, William voulait le voir mort de ses propres mains ! Ses parents étaient très méfiants face à l’idée imprudente de leur fils ainé. Ils comprenaient que leur fils aille soif de justice, après tout eux aussi le voulait. Mais qui donc les aurait aidés ? Qui donc aurait voulue aider une famille comme eux, à se faire justice ? Personne, évidement ! À contre cœur, ils avaient accepté l’idée de leur fils, en lui disant d’être très prudent. Car si William se faisait démasquer, au moindre faux pas… Il alla le regretter et pourrir le reste de sa vie en prison, ou pire se faire tuer tout comme sa sœur !

Intérieurement, William n’a aucune intention de quitter les ‘’Affaires familial’’. Après tout, c’est la seule vie qu’il connaissait vraiment. Ont l’avaient formé pour ça, alors à quoi bon vouloir fuir ce qu’il était destiné à devenir. Suite à plusieurs années d’Études et de Stages, et évidement à une grande patience, William avait eut se qu’il souhaitait. À présent âgé de ses 38 ans il avait eu sa chance, de se faire accepter dans l’Équipe policière de New-York City. Avec son identité de Jake Rosen, William avait un Dossier aussi blanc et pur que de la neige. Impossible de savoir qui il était vraiment. Il était tout simplement considéré aux yeux de tous et toutes comme le gentil petit nouveau : Jake Rosen, le beau et sympathique Britanique au visage d’Ange. Oh, si seulement ils savaient que en fait, cet innocent petit Ange était le Démon ! Mais ça, personne ne le savait, et William comptait bien faire en sorte de garder son identité secrète.

Bref… Voilà un mois, que William avait son propre bureau au Poste de Police de New-York. Toutefois, pour l’instant, ont ne lui avait pas vraiment confier d’affaires. Il se contentait de répondre aux appels, remplir quelques paperasses, s’occuper des dossiers à gérer sur ordinateurs… Le genre de choses, que tous les petits nouveaux se voit confier à faire. Honnêtement, cela ennuyait grandement William. Ce n’est pas en restant assit là, dans son supposer bureau, qu’il alla retrouver la trace du flic coupable de la mort de sa sœur ! Mais il devait garder son sang-froid. Chaque chose en son temps, ne surtout pas sauter les étapes. Le ‘’jour J’’ alla venir… Bientôt, très bientôt il pourra aller sur le Terrain et il trouvera la trace de cette pourriture !

Aujourd’hui était une journée chaude à New-York City. L’Été approchait à grand pas, le soleil brillait dans le ciel bleu de cette magnifique ville. Pour la millième fois de la matinée, William lâcha un lourd soupir et jeta un regard désespéré en direction de la fenêtre de son bureau. Il était présentement vêtu d’une paire de pantalon bleu marine, une chemise blanche et un veston de la même couleur marine que son pantalon. Ses cheveux blond châtain roux étaient comme toujours bien coiffées, aucune mèche de travers. Quoi que son visage exprimait la fatigue et l’ennuie. Depuis 5h ce matin, William n’avait pas bougé de son bureau. Et Midi approchait, cela faisait donc près de 7 heures entières qu’il était là à régler quelques petits trucs insignifiants. L’ennui total ! William regardait toujours part la fenêtre quand soudainement, une voix le sortie de ses pensées…

« -Hey… Le nouveau. » Appela une voix masculine près de la porte.

William tourna lentement la tête en direction de la voix, avec un visage impassible. Dans l’encadrure de la porte de son bureau se tenait un homme légèrement plus âgé que lui, affichant un air agacer. William haussa un sourcil, il regarda de gauche à droite avant de pointer vers lui-même d’un air interrogateur.

« -Moi ? » Dit-il un peu confus.

William avait reconnu l’homme, il s’agissait de l’un de ses collègues. Mais ils s’adressaient rarement la parole, que pour les urgences.

« -Tu vois quelqu’un d’autre dans ce bureau ?! » Répliqua sèchement son collègue en roulant des yeux.

William ne répliqua pas, se contentant de hausser les épaules en gardant son calme. Mais il soutenue le regard de son collègue, prouvant que malgré son silence il n’avait pas l’intention de se laisser piler sur les pieds si ont le cherchait trop.

« -Tu as trouver les renseignements que je t’ai demandé ? » Demanda son collègue avec un soupir.

« -Bien entendue. » Approuva William calmement.

« -Et… Où sont-ils ? » Questionna son collègue légèrement impatient.

« -Comme convenue, sur ton bureau. Déjà depuis hier. » Répliqua William tout en laissant naitre un fin sourire sur ses fines lèvres.

Son collègue parue vouloir répliquer quelque chose de plus, mais il ne trouva pas ses mots. Il renifla d’un air hautin, avant de continuer son chemin vers son propre bureau sans rajouter quoi que ce soit. Intérieurement, William ne pû s’empêcher d’éprouver une énorme satisfaction de lui avoir si facilement clouer le bec. Certains de ses collègues, don celui-ci, le prenait souvent pour un moins que rien étant donner qu’il était le petit nouveau. William détestait ça, mais généralement il réussissait à avoir le dernier mot et à se défendre.

William fit un demi-tour sur sa chaise et parue se perdre à nouveau dans ses pensées en observant de nouveau part la fenêtre. Pendant un bref instant, une pointe de tristesse se fit voir dans ses magnifique yeux couleur bleu-vert. Honnêtement, il détestait être ici. Il ne se sentait pas du tout à sa place. Mais il devait tenir bon, pour rendre justice à sa sœur. William observa la ville part la fenêtre, quand à ce moment ont cogna à sa porte…

William soupira et ferma les yeux afin de garder son sang-froid, sans même se retourner cette fois.

« -Si c’est pour me demander encore où sont les renseignements que tu m’as demandés… Je te l’est déjà dit : Sur ton bureau, depuis hier. Ce n’est pourtant pas difficile, c’est la grande enveloppe jaune marquer ‘’confidentiel’’ dessus. » Dit-il cette fois avec un peu d’agacement.

William s’attendait à ce que ça soit encore son collègue qui viens l’embêter. Mais, ce n’était pas le cas. Cette fois, c’était une autre présence…

Au grand étonnement de William, ça ne fut pas une voix masculine qui lui répondit… Mais une voix féminine.

«-Il bosse déjà dessus, et il ne recommencera plus.»

Instinctivement, William ressenti son corp entier se raidir en état d’alerte et sur ses gardes. Il tourna rapidement la tête en la direction de cette voix féminine. Si rapidement, qu’un petit craquement se fit entendre au niveau de sa nuque. Ouch ! Génial, vraiment super. Il alla avoir un horrible tortis colis durant toute la journée maintenant ! Tout en grimaçant légèrement, William porta une main à sa nuque afin de masser un peu pour soulager sa douleur. Il refoula tant bien que mal sa grimace, qu’il tenta de remodeler en un sourire crisper.

« -Ah, Mlle Bonasera. C’est un grand honneur de enfin vous rencontré, ont m’as dit beaucoup de bien sur vous. Désoler, je vous est pris pour… enfin, je pense que vous avez compris part vous-même. » Dit-il avec un sourire d’excuse.

William disait la vérité. Il avait en effet entendu dire du bien au sujet de Stella Bonasera, de la part de ses collègues. C’était donc plutôt facile pour lui de la reconnaitre aussitôt, malgré qu’ils ne ce n’était jamais encore vue en face à face. Toutefois, il doutait fortement que sa famille auraient dit autant de bien sur Mlle Bonaseras que ses nouveaux collègues. Mais bon, William sû rester le visage plutôt neutre sur ses penser envers elle, se contentant d’un sourire purement innocent et qu’il voulue aimable.

Stella entra dans le bureau et elle lui disait:

«-Jai regarder votre dossier, et depuis votre arrivée nous n’êtes jamais aller sur une scène de crime ou interroger des témoins. Je trouve cela étrange, mais bon, j’ai besoin d’un policier pour aller poser quelques questions à certains témoins lier à l’enquête du vol de banque. Vous voulez venir?»

William soutenue son regard tout en haussant les épaules d’un air décontracter.

« -Faut croire que, les gens d’ici ne sont pas tous autant gentil que vous avec les ‘’petit nouveau’’. Mais je ne leur en veux pas… Après tout, qui voudrait se porter volontaire d’avoir une nouvelle recrue dans leurs pattes et de risquer de nuire à leur si précieuse enquête. » Dit-il d’un tont un peu amère.

Le sourire qu’afficha William se fit légèrement forcer. Ils pouvaient sentir qu’il n’était pas vraiment apprécié, et honnêtement c’était réciproque ! Ils ne les aimaient pas non plus. Mais si il voulait se faire accepter, il devait faire des efforts. En y réfléchissant bien, l’offre que lui proposait Mlle Bonasera semblait être l’occasion parfaite. Il alla pouvoir faire ses preuves. Et Dieu merci, faire enfin autre chose que rester assit dans ce bureau à faire les paperasses !

« -Oh, une première enquête. Quelle joie ! Honnêtement, je n’en pouvais plus de rester dans ce bureau. Si je peux vous être utile, j’en serais plus que ravi de venir avec vous. » Dit-il d’un tont amical.

La joie se lisait à présent dans ses yeux. Et cette joie, elle était réel. Car au moins, il alla enfin aller sur une Enquête. Après un mois, ce n’était pas trop tôt ! William se leva alors de sa chaise et contourna son bureau, tout en prenant son badge au passage. Il adressa un sourire aimable à Mlle Bonasera, puis il inclina poliment la tête tout en lui faisant signe de passer la première pour qu’il puisse la suivre. William ferma la porte de son bureau et cala ses mains dans ses poches, tout en suivant Mlle Bonaseras quelque pas derrière elle.

« -Alors, Détective… Où allons-nous ? » Demanda-t-il alors qu’ils continuèrent à marcher vers la sortie.

Quand la Détective Bonaseras insista pour qu’il l’appel part son prénom, Stella, cela fit tout drôle à William. En fait, elle était la première à être si amical avec lui dès la première approche. Il n’en avait juste pas l’habitude, c’était assez bizarre comme effet. Mais il tenta de ne rien laisser paraitre, se contentant de continuer de sourire en lui disant que c’était d’accord. À la seule condition qu’elle l’appelle elle aussi par son prénom, Jake.

«-Jai été agence de la circulation dans Brooklyn pendant 4 ans avant que j’ai le culot de demander d’être sur le terrain, alors avant que cela arrive, j’aime mieux donner la chance plus rapidement aux autres. De plus, je suis convaincu que vous allez faire un aussi bon boulot qu’un flic qui est au poste depuis 15 ans.»

Suite à ses paroles, William détourna un instant le regard vers le sol. Il ressentie un léger mal l’aise à mentir à une femme aussi gentille que Stella, elle avait grand cœur et il pouvait le ressentir. Toutefois, il se gifla mentalement afin de chasser de son esprit son mal l’aise. Il ne devait pas se laisser amadouer pour si peu, il devait rester concentrer sur son but final ! Ne surtout pas s’attacher, cela n’alla rien donner de bon. Simplement, jouer son rôle et tout alla bien aller.

Une fois rendue au garage, Stella lui donna les clés de l’une des voitures blanches sur laquelle il était écrit NYDP dessus. William écouta attentivement l’adresse qu’elle lui donna, puis il hocha positivement la tête tout en approuvant qu’ils allèrent se retrouver sur les lieux en question. L’ainé de la famille Olsen se dirigeas vers la voiture et déverrouilla la portière côté conducteur avant de s’y installer. Il y glissa la clé et démarra le moteur qui se mit à ronronner, il jeta un bref regard dans son rétroviseur en observant un instant Stella dans sa voiture qui prenait la route. Le visage neutre, il se décida à se mettre en route peu de temps après.

Une fois sur place, dès qu’il sorte de sa voiture, William se mit à observer les lieux d’un rapide coup d’œil. Il remarqua aussitôt l’équipe déjà présente, qui travaillait pour récupérer le moindre indice qui pourraient leur être utile et prenant quelques photos ici et là. William, resta impassible, mais intérieurement il ne pû s’empêcher de les trouver très habile. William rapporta son attention sur Stella et écouta ses indications. Sans un mot et toujours impassible, il se contenta d’un petit hochement de tête pour approuver qu’il avait comprit se qu’il devait faire. Il se mit à observer les alentour, saluant au passage d’un petit signe de tête l’arriver d’une autre femme qui alla voir Stella.

Les lieux étaient sans dessus dessous, c’était plutôt difficile d’y voir claire. Sur le mur du fond, il y avait une grande éclaboussure de sang… Visiblement, quelqu’un avait été blesser durant ce vol de banque à mains armés. Et à en juger part le fameux Dossier que William avait classer plutôt hier, la victime en question n’avait pas survécu à ses blessures. L’ainé de la famille Olsen continua à observer les lieux jusqu’au moment ou son attention se porta sur une jeune femme un peu plus loin. Elle semblait un peu sous le choc, le regard dans le vide. William se dirigeas vers l’un des membres de leur équipe et demanda à avoir un café, qu’ont lui donna sans trop de mal. William se dirigeas ensuite vers la jeune femme et lui adressa un pâle sourire, qu’il voulue rassurant, tout en lui tendant la tasse de café.

« -Bonjour… Tenez, c’est pour vous. C’est un peu idiot en fait, car peut-être que vous n’aimer pas vraiment le café. Vous préféré autre chose ? De l’eau ? Du thé ? » Dit-il en douceur.

La jeune femme releva ses yeux vers lui, et eut un petit sourire. Malgré la situation, elle le trouvait plutôt aimable et il dégageait quelque chose de rassurant en lui.

« -Un café, c’est parfait. Merci. » Dit-elle tout en prenant la tasse de café.

Elle porta la tasse de café à ses lèvres et en prit une gorgée, avant de soudainement fondre en larmes. William parue un peu mal à l’aise, il jeta un regard de détresse en direction de Stella mais elle était visiblement occupée de son côté. Super… C’était à lui de la consoler ?! Et comment il devait faire ça ?! Les sentiments, cela n’était pas son fort. Pourquoi ça devait tomber sur lui ?! Un peu maladroitement, il posa une main qu’il voulue rassurante sur le dos de la jeune femme et se mit à lui faire quelques caresses réconfortantes. Ce n’était pas beaucoup, mais ce simple geste paru être se que la jeune femme attendait de sa part.

« -Je sais que cela doit être très émouvant pour vous… En fait, non pas du tout. Je ne sais rien du tout sur se que vous ressentez, car justement, je n’y étais pas. Mais, peut-être qu’en parler un peu vous ferait du bien ? » Dit-il en douceur tout en continuant de lui caresser le dos doucement.

« -C’était vraiment affreux ! Je travail à cette banque depuis près de deux ans, et je n’avais encore jamais vue ce genre de situation. Je veux dire… Les vols à mains armés, ça arrive que dans les films en général. » Dit la jeune femme entre ses pleurs.

« -Vous avez vue le visage, de ceux qui vous ont attaquer ? » Questionna calmement William.

La jeune femme secoua négativement la tête.

« -Non, ils portaient des masques et des cagoules. Ils étaient cinq, plus un chauffeur qui les attendaient à la sortie. Ils ont pris mon Patron, Mr Royde en otage. Ils ont promis de le relâcher, si il faisait tout se qu’ils lui demandait. Tout se qu’ils voulaient c’était l’argent, qu’ils disaient. Mais… Ils… Ils n’ont pas tenue parole, ils lui ont tiré une balle en plein cœur ! Et au lieux de le laisser là, ils ont ensuite transporter son corps sans vie jusqu’à dehors. Je… Je ne sais pas pourquoi ils ont fait ça. » Dit-elle toujours entre ses pleures.

Tout en continuant de pleurée à chaude larmes, la jeune femme se jeta ensuite entre les bras de William. William parue un peu étonner et mal à l’aise à la fois, il ne sûr trop comment réagir sur le coup. Il glissa maladroitement ses bras autour de la jeune femme et lui tapota le dos afin de la réconforter.

« -Shhht… D’accord, ce n’est rien mademoiselle. Vous m’avez déjà fourni des précieux renseignements, qui grâce à vous, seras aider à notre Enquête. Vous avez noté d’autre détails, qui celons vous pourrait nous servir ? » Dit-il en douceur.

« -Je suis désoler, pas vraiment… J’étais un peu trop sous le choc… » Dit-elle entre ses pleurs.

« -Ce n’est rien. Tout va bien, tout ira bien faite moi confiance. Vous voulez bien m’accompagné ? Je ne suis pas le meilleur placer pour le soutien phycologique… Mais je suis sûr que l’un des membres de notre équipe seras mieux vous soutenir. » Dit-il en asseyant de la rassurer.

Mais la jeune femme se dégageas doucement de lui. Elle semblait s’être un peu calmer, malgré que ses larmes coulaient toujours. Elle fit signe que non de la tête, tout en lui adressa un pâle sourire.

« -Non, je ne souhaite pas avoir de soutien psychologique. Je crois que je dois faire mon deuil seule, je vais m’en remettre. Cela peux paraitre peu pour vous, mais vous avez fait exactement se qui me fallait… Agent ? » Dit-elle tout en le regardant un instant de la tête aux pieds.

« -Agent Rosen. Mais, vous pouvez m’appeler Jake, simplement. » Dit-il en inclinant poliment la tête.

« -Et bien, Jake… Je vous remercie, pour le café et votre présence réconfortante. Ne vous en faite pas pour moi, je seras m’en remettre. » Rassura-t-elle en lui souriant malgré ses larmes.

Elle s’approcha de lui et lui fit une dernière accolade, se qui fit un peu bizarre à William, mais il se laissa faire tout en lui faisant un pâle sourire en retour.

« -Je vous souhaite une bonne journée, mademoiselle. Et surtout, si vous changer d’Avis pour le soutien psychologique ou si quoi que ce soit vous reviens en tête, n’hésitez pas à nous contacter. Ont vous à laisser l’une de nos carte, j’imagine ? » Dit-il aimablement.

La jeune femme hocha positivement la tête afin d’approuver. William resta encore un moment auprès de la jeune femme, puis elle quitta les lieux toujours un peu bouleverser mais tout de même mieux.

William se retourna et remarqua que Stella venait près de lui, pour savoir se qu’il avait sû de la part de la jeune femme en question.

« -Elle était sous le choque et très bouleverser. Toutefois, elle m’a confié qu’ils étaient cinq, plus un chauffeur. À se qu’elle m’a dit, leur première intention était d’avoir que l’argent et partir sans faire d’histoire. Mais les choses ont visiblement mal tournée. » Dit-il calmement.

William passa une main sur sa chemise, devenue un peu humide à causes des larmes de la jeune femme.

« -Elle à dit ne pas avoir besoin de soutien psychologique. Mais ont devrait quand même la garder à l’œil, ont ne sait jamais. Elle pleurait tellement qu’elle à presque noyer entièrement ma chemise ! » Dit-il avec une petite grimace.

William fit un pas vers l’arrière, et sans le vouloir… Il mit le pied sur un objet. Il abaissa le regard et fronça les sourcils. Il fouilla dans ses poches et en sortie un mouchoir, avant de s’accroupir et de voir qu’il s’agissait en faite dune balle. Sans doute une balle perdue durant le vol armé. À l’aide du mouchoir, il prit la balle et l’examina de plus près. En l’observant de plus près, l’expression facial de William changeas aussitôt. Il sentie son cœur manquer un bon, alors que malgré lui il blêmit en avalant légèrement sa salive difficilement. Il reconnue aussitôt le travail de son cher père… Cette balle, c’était son œuvre cela il n’avait aucun doute ! Soudainement, tout parue plus claire aux yeux de William.

Les voleurs de la banque devaient avoir fait affaire avait son père. Mais William savait mieux que personne que son très cher père ne faisait jamais affaire sans avoir une très grosse somme d’argent en échange. Peut-être que l’argent voler était destiner pour les voleurs à rembourser leur dette envers son père !

William sortie de ses penser, quand Stella lui demanda ce qu’il avait trouvé. Tout en reprenant tant bien que mal un visage neutre de toutes émotions, William se redressa tout en lui montrant la balle en question qu’il avait prit dans le mouchoir.

« -Je crois, que c’est une balle. Une simple balle, je ne pense pas qu’ont puisse en tiré quoi que ce soit… Elle est très endommagée. » Dit-il en haussant les épaules.

À vrai dire, William espérait que Stella et son équipe ne serait pas de qui viens ce genre de balle. Il espérait ne pas nuire à son père…

Quand Stella lui tendit un petit sachet en plastique afin d’y mettre la douille de balle, William parue un instant hésitant. Malgré que la douille était très endommager, avec quelques recherches, l’Équipe alla sans nul doute remonter jusqu’à son père tôt ou tard. Si son père était lié à cette affaire d’une façon ou d’une autre, William prenait un grand risque de lui nuire. Mais si il ne donnait pas la douille, cela alla vite réveiller les soupçons. C’est donc à contre cœur, qu’il déposa la douille en question à l’intérieur du sachet en plastique que Stella avait entre ses mains. William ne laissa rien paraitre de son inquiétude, continuant de sourire comme si rien n’était. Il se promis intérieurement, de contacter son père dès ce soir pour lui parler de cette Enquête de vol de banque à mains armés, et de savoir part lui-même si son père en était mêler d’une façon ou d’une autre.

Un peu plus tard, ils avaient quitté les lieux et était de retour au Labo. Suite à avoir régler quelques détails, Stella lui fit une petite visite. Le Labo, son bureau à elle, quelques autres lieux et aussi le bureau de Mac Taylor qui était leur Patron. Un peu plus tard, la petite visite était terminer. William se trouvait maintenant dans le couloir, toujours au côté de Stella.

«-Comment était ta première fois sur le terrain? Tu as des questions pour moi? Ou te manquait t’il de repaire ou autre? J’aimerais que tu sois aussi a l’aise que si ça aurait été ta millième enquête.»

« -C’était pas si mal. Je veux dire, plutôt bien pour ce genre de situation. Je sais que j’ai encore beaucoup à apprendre, mais je suis prêt à faire mes preuves. Et c’est grâce à vous, si j’en est eut la chance aujourd’hui. Je vous en remercie, Stella. J’espère sincèrement pouvoir travailler sur le Terrain à nouveau avec vous. » Dit-il en inclinant poliment la tête.

William lui adressa un sourire qu’il voulue rassurant et amical.

« -Grâce à votre petite visite, je suis sûr de aussi mieux m’adapter. Toutefois, je dois avouer que j’ai un peu le cerveau en compote en ce moment. Je suis rentré à 5h du matin tous les jours de cette semaine, et j’ai terminer seulement vers les 20h. C’est tout juste si je ne dors pas ici ! Mais, maintenant que j’ai un peu de repos… Je crois bien que je vais en profiter. Je vais rentré à mon appartement prendre une bonne douche, je vais me changer et ensuite je vais sortir manger prendre un bon repas bien mériter. Vous voulez venir ? » Dit-il continuant de sourire.

C’était sortie tout seul ! Merde, mais pourquoi était-il si amical avec elle ? Il ne devait pas s’attacher, cela alla lui crée de gros problèmes ! Mais c’était plus fort que lui. Il se sentait redevable envers Stella. Elle avait été si gentille, il voulait seulement la remercier et lui rendre l’appareil. William abaissa le regard, soudainement un peu mal à l’aise.

« -Rassurez-vous, ce n’est pas de la drague ! Je voulais seulement être poli et vous remercier à ma manière d’avoir été si gentille avec moi. Mais si c’est déplacer, je peux comprendre et je n’insisterais pas. » Dit-il un peu maladroitement.

Quand Stella lui confia que depuis son retour de Londres, elle aussi elle bossait tôt et finissait très tard, William ne pû s’empêcher de sourire d’avantage. Ahh, Londres. Sa ville Natal. Cela faisait plusieurs années que sa famille et lui-même avaient quitter Londres pour venir habiter ici, à New York. William adorait New York. Mais, ce n’était pas Londres. Parfois, ça lui manquait énormément. Durant la journée, il avait bien remarqué la fatigue qui rongeait les jolis traits du visage de Stella. Au fond de lui, William se demanda bien se que Stella avait fait à Londres. Un voyage ? Pour voir de la famille ? Un petit ami peut-être ? Pour le boulot ? Mais malgré son intrigue, il garda silence à ce sujet. Après tout, cela ne le regardait pas vraiment. Et il ne sentait pas le besoin d’en savoir plus sur la vie priver de Stella, elle ne semblait pas être une menace pour lui. Du moins, pas pour l’instant.

Suite à son invitation d’aller souper, Stella le remercia et parue sur le point de lui donner une réponse. Mais ils furent interrompu car celle-ci venait de recevoir un message texto. Suite d’avoir lu son message texto, William remarqua que Stella semblait un peu intriguer. Elle sortie toutefois de ses penser en rapportant son attention sur lui, qui sourit aimablement comme si rien n’était.

«-Euh demain ont pourrait aller dîner, j'ai quelques trucs a terminer. Encore une fois bon boulot sur l'enquête d'aujourd'hui Jake.»

William hocha doucement la tête approuvant son idée pour rapporter leur souper à demain.

« -Très bien. Aucun problème, demain alors. » Dit-il amicalement.

Il inclina la tête et sortie son téléphone portable afin de regarder l’heure, avant de sourire à nouveau en redressa les yeux vers Stella.

« -Bon… Je ne t’embête pas plus longtemps. Merci encore et à demain. » Dit-il aimablement.

William ne rajouta rien de plus et tourna les talons afin de quitter l’immeuble. Honnêtement, il n’alla pas se faire prier. Il disait vrai, avoir une soirée de repos alla lui faire le plus grand bien. Et puis, il devait aussi contacter son père afin de parler plus sérieusement de cette fameuse Enquête. Alors qu’il arriva au garage, William se dirigeas vers sa voiture, une Jaguar noire. Il prit place au volant et prit son téléphone pour envoyer un texto à son père :

*_*_*_*

Ont doit discuter, c’est important.
Appel-moi quand tu verras mon message.
-W.-

*_*_*_*

William soupira tout en rangeant son téléphone dans l’une des poches de son veston. Il doutait fortement que son père le contact rapidement… Son père était toujours occupé, tout comme lui d’ailleurs. Rare était les moments qu’ils se voyait maintenant, surtout depuis que William avait réussis à être dans l’Équipe policière. Mais tout écrire en message texto serait trop compliquer, William préférait parler de cette affaire de vive voix avec son père. Il lui fallait donc attendre que son père soit disponible et prêt à l’appeler.

Mais pour l’instant, la fatigue le rongeait. Il devait partir du boulot, faire le vide. William démarra alors sa voiture et se mit en route vers son appartement non loin de Central-Park…

La nuit fut très difficile pour William. Honnêtement, depuis qu’il avait infiltrer l’Équipe policière, ses insomnies semblaient avoir redoubler. Ses cauchemars, où il y voyait sa sœur morte entre ses bras le hantait toujours… Et en plus de ça il dormait que sur une oreille, sans arrêt sur ses gardes à l’idée que qui que ce soit découvre son vrai visage. Cela faisait des mois, même des années qu’il n’avait pas dormit une nuit complète de bon sommeil.

William se trouvait présentement allonger dans son lit, sommeil léger, allonger sur le ventre avec un bras sous son oreiller et l’autre pendant dans le vide. Son visage semblait presque paisible, et si inoffensif. Quand soudainement… La sonnerie de son téléphone portable se mit à sonner, le réveillant en sursaut !

Il sursauta tout en émettant un petit grognement de protestation. Mais il se résigna à étirer son bras en direction de sa table de nuit, afin d’atteindre son téléphone portable qu’il porta à son oreille d’un geste encore un peu endormie.

« -Hello ? » Dit-il d’une voix ensommeiller qui laissait entendre sa fatigue toujours présente.

« -Hello, Willy’. À en juger part ta voix, je te réveil. » Répondit une voix masculine mi-amuser et mi-malicieuse.

Cette voix… William aurait pû la reconnaitre entre mille. Il s’agissait de son père. Aussitôt, William se redressa dans son lit, son corps entier soudainement en alerte. Un peu comme un soldat, près à obéir aux moindres ordres sans la moindre question.

« -Père ! J’attendait justement de tes nouvelles. Ce n’est rien, à vrai dire j’ai l’habitude de peu dormir. Tu as eut mon message ? » Dit-il en asseyant de paraitre plus réveiller tout en se passant une main sur le visage.

« -Mouais… Tu devras faire vite. J’ai une réunion d’affaire dans 10 minutes. Quel est donc l’urgence ? » Dit son père intriguer d’en savoir plus.

William jeta un coup d’œil rapide en direction de son réveille-matin, celui-ci indiquait 3h45 AM ! Arrrgn… Combien de temps avait-il réussis à dormir ? Deux, ou trois heures peut-être bien ? Son cerveau avait du mal à bien réfléchir.

« -Tu est toujours là, fiston ? Bon, tu parle ou pas ? » Dit son père un peu appartient.

« -Oui, excuse-moi. Hier, j’ai fait ma première Enquête avec l’une de mes nouvelles collègues. Au sujet d’une attaque à la banque, un vol à mains armé qui aurait mal tourné à ce que j’en sait. Et sur les lieux du crime, j’ai retrouvé l’une de tes douilles de balle. J’ai tout de suite reconnu ton œuvre, je la reconnaîtrais entre mille. » Dit William calmement.

« -Quoi ? Oh, tu parle de l’attaque qui à eut lieux à la banque du quartier Nord de Manhattan ? Ça va, tout est sous contrôle. Ne te mêle pas de ça. » Dit son père sûr de lui.

« -Que je ne m’en mêle pas ?! Papa… C’est ma première Enquête, je dois faire mes preuves si je ne veux pas que mon vrai visage soit dévoilé. Mais, si tu est mêler à cette histoire d’une façon ou d’une autre, je dois le savoir. Je peux t’aider, malgré tout. S’il te plais, ne me ment pas. Je peux trouver une solution. Étouffer les soupçons pour qu’ont ne remonte pas jusqu’à toi. Mais tu dois me faire confiance et me dire de quoi il s’agit exactement ? » Insista William en restant tout de même prudent de ne pas vexer son cher père.

« -Je te dit de laisser tomber ! J’ai reçu ce qu’ont me devait. De toute façon, d’ici quelques heures, cette Enquête seras close et ça seras de l’histoire ancienne. Ta précieuse Équipe, ils ne remonteront jamais jusqu’à moi. Alors soit gentil, et reste hors de ça. » Dit-il un peu sèchement.

William avait du mal à accepter se que son père lui demandait de faire. Mais surtout, il ne comprenait pas comment l’Enquête pouvait être close d’ici quelques heures. C’était SON Enquête, c’était à lui de le faire. Cette situation le frustrait. Son père avait-il si peu confiance en lui, au point d’étouffer sa première Enquête ?! William savait que quelques Flics corrompu aurait très bien pû le faire, sous les ordres de son père. Mais cela le vexait tout de même un peu. Et ce n’était pas comme ça qu’il alla pouvoir faire ses preuves et se faire accepter des autres pour gagner leurs confiances !

« -Je sais que tu va m’en vouloir, c’était censé être ton Enquête. Désoler de te nuire. Mais tu sais… C’était toi ou moi. Je devais bien me couvrir moi-même avant tout. De ton côté, tu trouveras facilement une autre occasion de te trouver une autre Enquête. » Dit son père d’un ton négligeant.

William soupira et tourna son regard en direction de sa fenêtre entre-ouverte qui laissait l’air frai de la nuit circuler.

« -J’aurais très bien pû te couvrir moi aussi… » Marmonna-il un peu vexer.

« -Allons ! Ne fait pas la tronche, mon fils. T’as qu’à aller voir ta nouvelle collègue. D’ailleurs, comment elle s’appelle ? » S’intrigua-t-il.

« -Stella. Elle s’appelle, Stella Bonasera. » Dit William en asseyant de ne pas trop paraitre rancunier.

Un long silence suivit ses paroles, avant que son père lâche un petit jurement.

« -Détective Bonasera ? Merde ! Willy’. Suis mon conseil et reste loin de cette femme, tu m’entend ?! » Dit son père fermement.

William haussa un sourcil, un peu surprit de la réaction de son père.

« -Et pourquoi cela ? Elle est la seule à m’avoir plutôt bien accepté dans l’équipe, pour l’instant. La seule qui semble mériter d’avoir le respect qu’elle mérite, puisse qu’elle m’en à aussi donner. Si c’est parce que tu crains que je m’y attache trop, ça va je gère très bien. Je tien mon objectif en vue, je ne me laisserais pas distraire. C’est pour Julia que je fait ça, pour notre famille. » Dit-il avec assurance.

Son père soupira une nouvelle fois, mais parue se radoucir un peu quand William évoqua le prénom de sa sœur cadette.

« -Bien… Tu fait comme bon te semble, mais je t’aurais prévenue. Bon, je dois te laisser. Prend soins de toi, Willy’. » Dit son père calmement.

Sans un mot de plus, son père raccrocha et William en fit autant. Avec un soupir, il se laissa retomber lourdement dans son lit. Il ferma les yeux. Juste encore quelques minutes. Pitié, son corps ne le supportait plus. Il avait besoin de repos, de dormir…

Le reste de la nuit fut encore plus difficile pour William. Décidément, le sommeil n’était pas facile pour lui. Toutefois, à 8h AM pile, il quitta son appartement afin de retourner à son poste. Une trentaine de minutes plus tard, William arriva sur place. Il marchait dans les couloirs en direction de son bureau quand soudainement…

« -Hey, le nouveau ! Tu est en retard de trois heures ! » Dit une voix derrière lui d’un air bougon.

William ne réagissait pas. Il garda silence, le visage neutre et se contentant d’ignorer son collègue. Il continua de marcher et ouvrit la porte de son bureau en la claquant derrière lui, il n’était pas d’humeur. Valait mieux ne pas trop le chercher en ce moment. Mais visiblement, son collègue n’avait rien comprit, car il ouvrit la porte du bureau de William sans même cogner.

« -Hé ! Tu as entendu ce que j’ai dit ? Pas une, pas deux. Mais trois heures de retard ! Tu va avoir de gros ennuis, le nouveau. » Dit son collègue avec énervement.

William fit volte-face et lui jeta un regard noir. Cette fois c’était trop, il serra les poings. Si il ne se retenait pas, son poing aurait voler tout droit au visage de son collègue un peu trop agaçant à son goût.

« -C’est Rosen, mon nom. Tu peux arrêter avec le surnom de ‘’Le nouveau’’, je ne le suis plus vraiment puisse que je suis ici depuis un mois. C’est bon, j’ai saisi le message, je ne suis pas sourd. Je m’excuse pour mes trois heures de retard, j’ai eu une dure nuit. J’expliquerais tout ça au Patron, si il me le demande. Mais à toi, très cher, je ne te doit rien du tout ! Donc, à moins que tu as une nouvelle Enquête qui pourrais m’intéresser… Je te demandais gentiment de quitter mon bureau avant que je m’emporte vraiment. » Dit-il d’un tont un peu trop calme pour que cela soit bon signe.

Son collègue le regard un moment bouche-bé, visiblement étonner que William ose lui répondre. Lui qui habituellement était si impassible, cette fois il prouvait qu’il valait mieux ne pas trop le chercher. Il y eut un petit silence avant que son collègue s’éclaircit la gorge un peu mal à l’aise.

« -C’est bon, calme-toi. Je faisais que te taquiner… Rosen. » Dit-il d’un tont qu’il voulue plus détendue.

William desserras les poings et se passa une main dans ses cheveux afin de reprendre son calme.

« -Désoler. Comme je l’est dit, j’ai eut une dure nuit. Tu n’aurais pas une Enquête à me confier ? S’il te plait. Ça me calmerait un peu, si je reste ici je vais devenir dingue. N’importe quoi. » Dit-il avec espoir.

« -Et bien… Si ça t’intéresse il y a Stella qui aurait peut-être besoin d’un coup de main pour une Enquête à Central Park. Elle est déjà sur place, tu peux aller la rejoindre et voir se qui se passe. » Dit son collègue en haussant les épaules.

« -D’accord, c’est super. Ouais, je prend. Crois-moi, c’est mieux que je sorte. » Dit William avec un petit sourire d’excuse.

William inclina la tête et sans un mot de plus, il quitta les lieux pour aller rejoindre Stella à Central Park. Honnêtement, William était encore un peu agacé de la discussion qu’il avait eu avec son père durant la nuit et en plus il avait mal dormi. Son moral était à vif, il aurait été capable de frapper n’importe qui que pour se défouler un peu. Mais bon, il devait garder son sang-froid.

Quelques minutes plus tard, William arriva à Central Park avec l’une des voitures blanches du NYPD. Il se gara et sortie de la voiture en respirant à fond, il rajusta sa cravate et observa un moment les alentours. Stella et son Équipe étaient déjà sur les lieux à prélever les moindres petits indices. William se dirigeas vers Stella. Une fois à sa hauteur, il tenta de lui faire un sourire poli, malgré qu’il semblait toujours un peu à pique.

« -Salut… » Salua-t-il avec un petit signe de tête.

William jeta un regard en direction de la victime. Une jeune femme sans vie, presque nu était étendue dans le gazon. Il n’y avait aucune trace de balle, elle avait été tuer par strangulation avec les marques qu’elle avait au cou. Sans doute un viol, William pouvait le deviner au premier coup d’œil.

« -Ont m’as informé que tu aurais peut-être besoin de mon aide. » Dit-il calmement sans quitter la victime des yeux.

Il renifla d’un air un peu amer, prouvant qu’il était toujours contrarié.

« -Vos mieux s’occuper avec cette nouvelle Enquête, puisse que la notre à visiblement était close mystérieusement. » Dit-il en roulant des yeux.

William était tellement contrarié, qu’il ne remarqua pas la surveillance de Felix Leither et aussi un agent de la CIA un peu plus loin qui semblait monter la garde en les observant discrètement.

Quand Stella lui demanda si il avait eut une dure nuit, William devina qu’elle avait sans nul doute remarquer sa sale tête. Il approuva d’un petit signe de tête, mais préférait de pas trop en dire plus. Il détourna le sujet en évoquant vaguement l’enquête d’hier mais sans plus en dire non plus en rajoutant qu’ils devraient plutôt se concentrer sur cette nouvelle Enquête qui se présentait face à eux.

«-Oui vaut mieux ce mettre au boulot, umm il y a beaucoup a faire, 6 témoins là bas a interroger, fouiller les buissons pour trouver le moindre indices vue que la victime semblait venir de cette direction.»

« -Très bien. Je vais aller voir du côté des buissons. » Dit-il en inclinant la tête.

William remarqua que Stella lui avait laisser le choix de choisir lui-même se qu’il voulait faire, elle ne semblait pas le forcer à quoi que ce soit. Sans oublier qu’elle n’avait pas fait un seul commentaire au sujet de son retard, et William lui en fut très reconnaissant pour ça. Il n’avait pas envie de lui mentir, pas à elle. Alors valait mieux qu’elle ne cherche pas à savoir le pourquoi de son retard, sinon il aura à mentir. Il détourna alors Stella et alla en direction des buissons en question afin de les passer au peigne fin comme demander. Il enfila une paire de gants, puis il se mit au travail en silence. Visage impassible. Restant concentrer sur ses tâches. Délicats et minutieux. Être policier était peut-être seulement un rôle qu’il se donnait, mais si il l’aurait vraiment souhaiter, ce genre de travail aurait très bien pû lui faire comme un charme ! Il avait tout du parfait Enquêteur, quand ont lui en donnait la chance.

Après une heure à avoir passer les buissons sur tout les angles, William en avait trouvé un sac à main. Peut-être celui de la victime ? Il fronça les sourcils et ouvrit le sac à main afin de vérifier part lui-même. Il en trouvait en effet un portefeuille, avec par chance des cartes d’identités et des photos de la victime. C’était donc en effet son sac à main à elle. À en juger part les cartes d’identité, cette jeune femme ce nommait Alice Foster. Malgré son visage impassible, une pointe de tristesse se lut dans le regard du fils ainé de la famille Olsen. Cette jeune femme, elle avait à peine 16 ans… Elle avait l’âge de sa sœur, quad celle-ci avait été tué. Toutes les deux si jeunes, elles avaient toute la vie devant elles. Mais le destin, cruel, en avait décidé autrement. Bizarrement, d’une certaine façon, William se sentait soudainement très intéresser à résoudre cette Enquête. D’une certaine façon, il voyait en cette jeune femme sa sœur. Il voulait qu’elle repose en paix, qu’elle ne soit pas morte pour rien. Il voulait mettre la main sur son meurtrier et violeur.

Suite à s’avoir assurer qu’il n’y avait rien d’autres comme indices dans les buissons, William retira ses gants et se dirigeas vers un homme qui faisait partie des témoins à interroger. L’homme ne semblait pas vraiment attrister, même plutôt indifférent à la situation. À vrai dire, l’homme avait fait signe à William d’approcher, alors il s’approcha pour voir se qu’il voulait lui dire.

« -Excusez-moi. J’aimerais savoir si je pourrais quitter les lieux ? J’ai un rendez-vous d’ici quelques minutes, donc si ont pourraient me libérer cela m’arrangerais. Et puis, je n’ai rien à avoir avec cette histoire. » Dit l’homme avec un peu d’agacement.

« -J’ai bien peur que votre rendez-vous devra attendre encore un peu. Avant de quitter les lieux, nous devons vous poser quelques questions et ça seras à nous de juger si vous n’avez vraiment rien à voir dans cette histoire. Monsieur ? » Dit-il calmement.

« -Alex. » Marmonna l’homme un peu bougon de se faire retenir.

« -Alex qui ? » Demanda William toujours calme et sans le quitter des yeux.

Mentalement, il se mit à observer attentivement cet homme. Le fait qu’il veule partir si rapidement le mettait évidement sur la liste des suspects aux yeux de William.

« -Alex Miller. C’est bon, vous avez mon nom. Je peux partir ? » Dit l’homme avec agacement.

« -J’aimerais savoir, quel était votre lien avec la victime ? » Demanda William en ignorant sa dernière question car évidement il n’avait pas l’intention de le laisser filer comme ça.

« -Je ne la connaissait même pas. Votre équipe m’as injustement arrêté, car je rôdais près des lieux ce matin. Mais je n’y peux rien moi ! Je faisais mon jogging comme chaque matin, je ne pouvais pas deviner qu’il y avait une scène de crime. » Tenta de se justifier le dénommer Alex.

William lui posa encore quelques questions de bases, rien de vraiment trop détailler pour le moment. Mais face à l’agacement d’Alex, il dû mettre fin à leur discussion pour le laisser partir. Il fit toutefois promettre à Alex de rester en contact et de ne surtout pas quitter la ville, et qu’ils allèrent devoir continuer cette discussion à plus tard.

Mine de rien, William n’avait pas vue l’heure passer. Deux heures c’étaient écouler, leurs équipes pouvaient maintenant rentrer au Labo. Une fois au Labo, William alla à son bureau afin de prendre quelques notes sur leur nouvelle Enquête. Il ne voulait surtout pas rien oublier. Suite à avoir pris quelques notes sur une dizaine de pages, il se relut et alla les porter dans le Dossier destiner à l’Enquête. Sur le chemin, il y croisa Stella qui lui tendit un café.

«-Une autre chose que mes collègue me disent, c'est que j'ai un grand coeur. Je sais très bien que tu n'as pas déjeuner et encore moins prit un café.»

William parue un peu hésitant, l’air de vouloir répliquer. Il n’avait pas l’habitude qu’ont prend soins de lui. Chez lui, cela avait toujours été chacun pour soit. Il abaissa son regard vers le café d’un air envieux. Stella avait vue juste, il n’avait pas pris la peine de déjeuner ni même de prendre un café. Juste à l’odeur, il en salivait déjà. Malgré une pointe d’hésitation, il fini part accepter et prit le café qu’elle lui tendait.

« -Je ne peux hélas rien te cacher, ont dirait bien. Merci, Stella. Sincèrement… Ce café va me faire le plus grand bien, j’en est bien l’impression. » Dit-il reconnaissant avec un pâle sourire.

William porta la tasse de café à ses lèvres et en bu une petite gorgée. Dieu du ciel ! Comme ce café était bon ! Qu’est-ce que Stella avait mis dans ce café, pour qu’il soit si bon ?! Mais bon, sans doute qu’elle n’avait rien mit en particulier. William en avait juste de besoin, et cela lui semblait tellement bon. Il profita quelques secondes de la chaleur du café, jusqu’au moment où l’un de leur collègue s’approcha en leur direction en s’adressa à Stella.

«-Lieutenant Bonasera, vous savez que le nouveau a eu trois heures de retard ce matin?»

À entendre ses paroles, William roula des yeux et lui jeta un regard agacer. Non mais, de quoi il se mêlait celui-là ?! Stella n’avait pas poser la moindre question sur le fait qu’il soit en retard, alors pourquoi lui semblait-il s’en soucier temps. Et puis, malgré son retard, au moins une fois arriver William avait sû aider à l’Enquête.

Il ouvrit la bouche, se tenant près à répliquer. Mais à sa grande surprise, Stella le fit à sa place…

«-Détective Lewis, des retard cela arrive a tout le monde, et je suis la seul bien placé ou le Lieutenant Taylor a parler au gens concerner pour les retards. Alors, si vous ne voulez pas que je dise a votre superieur que vous faites deux sommeil par jour sur votre bureau, dégagez et bosser sur votre enquête en cours.»

William écarquilla les yeux, sous l’étonnement de voir que Stella avait pris sa défense. Waw ! Elle pouvait être gentille, mais elle gardait un fort caractère. Elle avait sû clouer le bec à Lewis, qui à présent se tenait bien tranquille. Il jeta un bref regard hautin vers William, mais ne rajouta rien avant de partir plus loin en silence. Les autres regardait un moment ce qu'il venait d'arriver et continuait leur boulot. Une fois que tout le monde retournèrent à leurs occupations, William rapporta son attention sur Stella avec un regard intense. Son visage était devenue neutre de toute émotions, impossible de savoir se qu’il en pensait vraiment. Mais son regard parlait pour lui, très intense mais aussi reconnaissant pour ce qu’elle avait dit. Elle n’était pas obligée de faire ça… Elle aurait très bien pû le gronder un peu pour son retard… Pourtant rien…

Toutefois, William n’eu pas le temps de la remercier à haute voix. Stella devait partir sur une nouvelle Enquête. Il la laissa donc partir, et il suivit son conseil pour finir son café avant de re remettre au boulot.

William eut une journée très charger. Il s’acharna à aider sur plusieurs Enquêtes, du moins celles qu’il pouvait. À vrai dire, il commençait même à y prendre goût ! Aller sur le Terrain, c’était beaucoup plus distrayant que rester assis derrière son bureau.

Ça fut que autour de 22h, qu’il pû enfin respirer un peu. Il retourna au Labo y remplir quelques notes encore une fois. Il avait maintenant terminé et relisait ses notes afin de s’assurer que tout était au clair. William était plutôt fier de lui, ce n’était pas si mal en fait.

William n’arrivait pas à mettre de côté cette Enquête de Alice Foster. Mais malgré lui, la fatigue le rongeait toujours. Il prit place sur le canapé, situer un peu plus loin dans son bureau tout en relisant toujours ses notes et se qu’ils avaient trouver pour cette Enquête. Après quelques minutes, il sentie malgré lui ses paupières se fermer. Sans trop s’en rendre compte, il fini même part s’endormir tout en tenant toujours le dossier de l’Enquête poser contre son torse.

William se réveilla en sursaut, quand il entendit soudainement du bruit au loin. Avec un petit grognement, il rouvrit ses yeux et jeta un rapide coup d’œil autour de lui. Il était toujours au Labo, allongé sur le canapé de détente situer dans son bureau. Avait-il vraiment passé la nuit là ?! À en juger part son affreux mal de tête et son torticolis, oui ! Il se redressa en position assit et se pencha vers l’avant pour ramasser le Dossier de l’Enquête qui était tomber au sol durant son sommeil. Quand à ce moment, il entendit à nouveau du bruit venant du couloir. Visiblement quelqu’un qui se disputait. William se leva, il posa le Dossier de l’Enquête au coin de son bureau, puis il ouvrit sa porte pour y voir se qui se passait. Dans le couloir, deux flics accompagnaient un homme en direction de l’une des salles d’interrogatoire. William reconnue aussitôt cet homme, il s’agissait de Alex Miller. D’ailleurs, Miller semblait de très mauvaise humeur en protestant qu’ils devaient le relâcher car il n’avait rien à faire ici. Mais malgré ses protestations, les deux flics l’entrainaient toujours tant bien que mal.

Quand ils passèrent devant le bureau de William, Alex lui jeta un regard. Pendant un instant, leurs regards se croisèrent. William restait impassible, mais il remarqua le regard rageur que Alex lui lançait. Comme si c’était de sa faute si il était arrêté. Mais William ne comprenait pas trop.

« -Hey… Bien jouer, le nouveau. » Dit l’un de ses collègues.

William tourna son attention vers lui, et fronça les sourcils un peu confus.

« -Nous avons retrouver des empruntes sur le portefeuille de la victime, que tu as trouver dans les buissons hier. Et les empruntes en question correspondent à celles de ce jeune homme. Bien entendue, cela ne prouve pas encore si il est le coupable ou pas. Mais cela prouve qu’il nous a menti et qu’il connaissait notre victime. Je suis sûr que si ont le fait un peu chanter, il avouera tout de lui-même. » Dit son collègue en lui adressant un fin sourire en coin.

William comprenait mieux maintenant. Il sourit bien heureux de cette nouvelle. Il se passa une main dans ses cheveux afin de mieux les coiffés et prit la direction de la salle d’interrogatoire.

« -Je vais m’en charger. » Dit-il sûr de lui.

Rien ne ferait plus plaisir à William de faire avouer à ce fameux Alex Miller se qu’il avait fait. Toutefois, il fut retenue part l’épaule part son collègue.

« -Oh, une minute. Rosen… Tu as une mine affreuse. Ne me dit pas que tu as passer la nuit ici à étudier au pingle fin le Dossier de l’Enquête ?! » Gronda-t-il.

William haussa les épaules en détournant le regard.

« -Ça va aller. J’ai quand même dormi un peu. Le canapé de mon bureau, il est vraiment confortable. Presque autant que mon lit. » Dit William avec un sourire innocent.

Son collègue soupira, mais lui sourit tout de même en retour.

« -Très bien, va-y. Mais après ça, tu file manger un bon déjeuné. C’est un ordre ! » Dit-il en lui jetant un regard qui refusait d’être contredit.

William eut un petit ricanement discret. Il abaissa ses yeux en direction du petit badge que son collègue avait à son collet de chemise. Il y lut son nom, Jeremy Blake. En faite, leurs bureaux n’étaient pas très loin l’un de l’autre. William releva ses yeux vers Blake et sourit amuser.

« -Blake… Tu n’est pas en pouvoir de me donner d’ordre, je te fait remarquer. J’irais manger quand bon me semble. » Répliqua-t-il avec une pointe d’amusement.

« -Oh, aller ! Arrête un peu avec tes grands airs à l’Anglaise. C’est un conseil d’amis. Si tu continue à travailler le ventre vide, tu finiras part tourner de l’œil. Et vue que mon bureau est le plus proche du tien, qui sait qui risque de te ramasser à la petite cuillère ? Moi ! Alors, non merci ! » Se plaignit Jeremy Blake en roulant des yeux mais continuant de sourire cette fois aussi amuser.

William fit semblant d’y réfléchir et secoua la tête avec amusement.

« -C’est bon, je vais quand même t’éviter ça. Vue que nous sommes amis maintenant, je te dois bien cela. » Dit-il moqueur.

« -Mouais. Aller, va donc interroger ton suspect numéro un. Au lieu de te moquer. » Marmonna son collègue en tournant les talons.

William sourit un peu plus et reprit alors son chemin vers la salle d’interrogatoire. Une fois sur place, William discuta un instant avec les deux flics qui avaient amené Alex Miller. Ils se mirent d’accord pour que William soit celui qui l’interroge. Sans un mot de plus, William franchit alors la porte de la salle d’interrogatoire. La pièce entière était d’un blanc aveuglant, les néons au plafond était la seule source de lumière, le mur sur la gauche était couvert d’un très grand miroir derrière lequel William savait que ses collègues les observaient. Au milieu de la pièce, il y avait une table en métal derrière laquelle Alex Miller était assit sur une chaise. William referma la porte derrière lui et l’observa un moment en silence, s’immobilisant avec un visage neutre. Dès qu’il le reconnue, Miller eut un petit rire moqueur.

« -Tien, tien… Comme ont se retrouve, monsieur l’Agent. » Dit-il moqueur.

« -Je vous avait bien dit, que nous devrions remettre notre petite discussion, Mr Miller. D’autant plus que vous m’avez menti. Donc… Il faudra tout reprendre du début. » Dit calmement William en restant impassible.

« -Bon d’accord, très bien. Je connaissais peut-être en effet Alice. Mais, cela ne veut pas dire que je suis celui qui l’as tué ! » Dit Miller agacer.

William fit quelques pas dans la pièce, toujours calme et impassible. Il prit place sur la chaise face à Alex Miller, ne le quittant pas des yeux avec un regard intense.

« -C’est se que nous allons asseyez de découvrir. Si vous n’êtes pas son agresseur, alors qui étiez vous pour elle ? » Dit-il calmement.

« -Une simple fréquentation, nous avons été à l’école ensembles et nous sommes rester amis. Nous nous sommes vue le matin, avant son meurtre. » Avoua Miller en haussant les épaules.

William avait beau lui poser des milliers de questions, Alex Miller était dur à cerné. Toutefois, durant l’interrogatoire, William eut le temps de mieux l’observer. Il remarqua que les doigts de Miller était rougit… Comme si il aurait prit une corde entre ses mains pour la serrer fortement à quelque chose, ou peut-être même quelqu’un. Il n’avait pas assez de preuves pour sauter directement à la conclusion, mais plus William discutait avec ce type et plus il sentait que c’était lui le coupable !

Après une heure d’interrogatoire, William dû se résoudre qu’il ne pouvait rien y faire de plus pour l’instant. Alex Miller était libre de partir, encore une fois. Cela mettait William en colère. Il savait que c’était lui, cela pouvait être que lui ! Mais part manque de preuves, ils ne pouvaient rien y faire.

Suite à avoir quitté la salle d’interrogatoire, William s’apprêta à aller à son bureau encore pour continuer ses recherches. Mais en chemin, il y croisa son collègue, Jeremy Blake. Celui-ci lui grogna de nouveau d’aller manger, maintenant que son interrogatoire était fini. À contre cœur, William se disait qu’il avait raison. Et puis, son estomac commençait d’ailleurs à se manifester. Il sortie donc du Labo et alla à un restaurant pas très loin.

Quelques minutes plus tard, William était de retour au Labo en transportant dans ses ras une grande boite rectangulaire. En le voyant déjà de retour, Jeremy soupira et se dirigeas vers lui l’air grognon.

« -Rosen ! Pour l’amour du ciel, tu ne connais pas les mots ‘’va manger’’ ou quoi ?! » Protesta-il désespéré.

« -Ça va, ça va calme-toi. J’apporte des beignes. » Répliqua William avec amusement.

William détourna son collègue et alla déposer la boite de beignes sur le grand comptoir au centre de la pièce principal. Il se tourna ensuite vers Jeremy qui le dévisageait bizarrement un moment avant de fixer la boite de beignes.

« -Tu… Tu à acheter cette boite de beignes, pour toute l’équipe ? » S’étonna Jeremy.

« -Tu m’imagine peut-être manger la boite entière à moi seul ? Hors de question ! Évidement, que c’est pour toute l’équipe. » Sourit William.

Jeremy semblait un peu étonner de l’attention de Jake envers l’équipe. Malgré que la plus part d’entre eux n’étaient pas vraiment aimable avec lui en ce moment, Jake lui semblait déterminer à se faire accepter et être aimable malgré tout.

William se prit un beigne nature dans la boite, il fit un clin d’œil amuser à Jeremy qui roula des yeux mais lui sourit quand même en retour. Puis sans un mot de plus, William alla à son bureau. Tout en mangeant son beigne, il se remit à faire ses recherches sur l’enquête a la recherche du moindres indices qui pourraient accusé Alex Miller.

William sortie de ses penser en sentant une présence. Il releva la tête et sourit en voyant que c’était Stella.

«-Super interrogatoire que tu as fais, j’ai trouver une autre preuve, mais on a besoin de fouiller son appartement.»

« -Je t’en remercie. Mais honnêtement, j’ai l’impression de tourner en rond. J’aurais peut-être dû jouer les ‘’méchant flic’’. » Dit-il avec un petit soupir en ce passant une main dans les cheveux.

William écouta la suite des paroles de Stella et la félicita à son tour pour avoir trouvé d’autres preuves. Quand elle ajouta qu’ils avaient besoin de fouiller son appartement, William approuva d’un petit signe de tête. Quand Stella lui montra la photo du dos de la victime avec le troue de balle, il fronça les sourcils songeurs et écouta la suite de ses paroles.

«-Selon mes recherches, il s’agit d’une arme datant des années 50, mais modifier pour être plus moderne. Une arme qui vient de l’Europe peut-être.»

Quand Stella évoqua une arme des années 50 qui aurait été modifier en une version un peu plus moderne, William détourna un instant le regard. Son visage était impassible, mais son cerveau lui avait tout enregistrer. Et étrangement, cette histoire d’arme des années 50 modifier en quelque chose de plus moderne lui rappelait quelque chose de familier. Il se rappelait d’y il a quelques années, que son père avait déjà fait affaire avec un homme qui utilisait ce genre d’armes. Un vieil ami de la famille, mais William était très jeune à cette époque. Il s’en rappelait que vaguement, pas assez pour en conclure quoi que ce soit.

« -J’ai entendue parler d’un homme, qui travaillait dans les fabricants d’armes. Ce genre d’armes des années 50 mais modifier pour être plus moderne, ça ressemble drôlement à sa signature. Mais, ça m’étonnerait que Alex Miller soit au courant avec qui il à fait affaire pour se procurer ce genre d’armes. Ce genre de personne, ils ne vendent jamais leurs armes sans rien en retour… Et le prix en est souvent très cher. Une fois engager avec eux, c’est à la vie à la mort. Notre cher Miller s’est mit dans la merde jusqu’au cou, et il n’en est sans nul doute même pas au courant. Si il ne se fait pas enfermer en prison part nous, alors ça seras eux qui le trouverons et ils ne serons pas autant tendre que nous. » Dit-il en observant toujours la photo.

En y réfléchissant bien, William avait presque envie de laisser ce salopard de Miller entre les mains des fabricants d’armes. Le fabriquant d’arme en question n’alla pas apprécier que Miller est accidentellement laisser son arme se retrouver entre les mains d’une Enquête de crime. Il alla devoir en payer le prix. Et William savait très bien qu’avec ce genre de gens, les conséquences alla être d’en payer de sa vie ! Mais en tant que policer, il ne pouvait pas agir ainsi. Il devait coinser Miller de façon plus honnête.

Stella l’informa qu’elle avait réussis à avoir un mandat pour fouiller l’appartement de Alex Miller, et que Blake alla venir avec elle en renfort. Elle lui demanda si il voulait les accompagner, alors William accepta. Stella, Blake et William était donc sur le point de partir quand à ce moment… Ils furent arrêtés en chemin part le superviseur de NYDP. Il était accompagné d’un autre homme qui se présenta en tant que Felix Leiter, un Agent de la CIA.

À la mention de la CIA, William refoula un léger frisson. Il se souvenait que son père avait eut affaire à l’un de leur Agent… Quel était son nom déjà ? Ah oui, James Bond ! Au début, tout allait bien. William avait même aidé son père pour les affaires entre eux et James Bond. Mais part la suite, ce dernier avait décidé de rompre leur accord. Rapprochant à William et son père, que leurs affaire familial était trop associer aux affaires criminels. Évidement son père l’avait très mal prit et gardait un petit froid avec Bond depuis. Pour le cas de William, malgré qu’il soit plutôt neutre et préférait ne pas trop s’en mêler plus que ça, il s’en méfiait quand même un peu. Le fait de voir un Agent de la CIA ici, c’était risquer pour lui. Peut-être que Bond avait parler de lui aux autres Agents ? Si c’était le cas, il devait faire attention à ne pas se faire démasquer. Malgré sa soudaine méfiance, il ne laissa rien paraitre. Il garda un air impassible, restant silencieux côte à Stella et Blake.

«-Pourquoi un agent de la CIA?» demanda Stella.

«-Le suspect a fait des victimes de la même âge, même type d’endroits dans le monde, alors c’était la CIA qu’on a besoin le FBI est sur place aussi. Alors vous allez bosser avec Agent Leiter.»

Suite aux explications, cela paraissait en effet plutôt logique qu’ils doivent faire équipe. Stella se présenta à l’Agent Leiter tout comme Blake. William fut le dernier à se présenter. Il adressa un sourire aimable à Leiter et lui tendit amicalement sa main en guise de salutation.

« -Enchanté, je suis Jake Rosen. » Dit-il amicalement.

L’Agent Leiter observa un instant la main tendue de William, il plissa légèrement les yeux avant de les redresser en direction de celui-ci. Son regard était intense, comme si il cherchait à lire en lui comme dans un livre. Quand il lui prit finalement la main, sa poigne était très ferme.

« -Oui, je sais qui vous êtes, Lieutenant… Ont m’as dit qui vous étiez. » Dit Leiter sans le quitter des yeux.

Pendant un bref instant, William se sentie très mal à l’aise. Il redoutait le pire. Mais il ne laissa rien paraitre et se conta de sourire un peu plus. Après tout, c’était sans nul doute simplement le supérieur du NYDP qui lui avait parler avec qui il alla faire équipe pour cette Enquête.

Après les présentations, ils étaient en chemin pour aller à l’appartement de Alex Miller afin de voir se qu’ils pourraient trouver de plus. Quelques minutes plus tard, ils étaient arrivés sur place. Dès l’arriver dans le quartier, William ressentie que l’ambiance était malfamée et très peu rassurante.

« -Ont devraient peut-être aussi monter part la porte de secourt à l’arrière. Ont ne sait jamais, si Miller aurait l’idée de fuir si il nous voit arriver. » Dit Blake.

« -Ouais, ont ne sait jamais. Je me charge de la porte arrière, avec Rosen. Blake, reste près de Stella et soyez prudent. » Dicta l’Agent Leiter.

Blake approuva et resta près de Stella. Alors que William, suivit de près Leiter malgré un petit mal l’aise à l’idée d’être seul à seul avec cet Agent de la CIA. Un lourd silence assez gênant s’installa entre les deux hommes, alors qu’ils marchèrent vers l’escalier de secourt à l’arrière des appartements.

« -Alors… Jake. Tu te plais bien dans l’équipe ? » Dit Leiter comme si rien n’était.

William renifla l’air, d’un air plutôt neutre.

« -Ça peux aller. C’est sûr que j’ai encore beaucoup à apprendre, ont me considère encore comme le ‘’petit nouveau’’. C’est un peu agaçant, mais je sais que nous devons faire nos preuves dans ce genre de domaine pour se faire accepter. Et puis, Stella m’aide beaucoup à mieux m’adapter. » Dit-il en asseyant de se détendre.

« -Mouais… Elle à grand cœur. Parfois un peu trop, même envers ceux qui ne le mérite pas vraiment. » Marmonna Leiter en lui jetant un regard intense en billet.

William resta impassible, mais il savait que ce sous entendue lui était adresser. Cet homme, il savait visiblement qui il était vraiment. Pourtant, il ne l’avait pas dénoncer jusqu’à présent. Mais au moindre faux pas, il alla sans doute le faire sans la moindre hésitation !

Soudainement, ils furent interrompu dans leur petite discussion. Des bruits de pas précipiter se firent entendre en directions des escaliers de secours. Visiblement, quelqu’un les descendait à toute vitesse ! L’Agent Leiter prit William part l’épaule et le plaqua contre le mur de brique pour éviter de se faire voir. William refoula une petite grimace tout en se dégageant rapidement de l’emprise de Leiter, mais il resta quand même hors de vue. Jusqu’au moment où ils remarquèrent un homme asseyez de prendre fuite. Sans hésitation William se jeta à sa poursuite !

« -Rosen ! Merde ! » Tenta de retenir Leiter.

Mais trop tard, William était déjà sur les traces de l’homme qui fuyait. Il courait assez vite pour le rattraper et soudainement… VLAME ! Il plaqua l’homme, si fortement qu’ils tombèrent au sol tous les deux. Évidement, cet homme était nul autre que Alex Miller. Ils firent quelques roulades un instant, mais William réussis à prendre le dessus et le plaqua violamment contre le sol ! Miller tenta toujours de se débattre, mais William lui coinsa un bras derrière le dos tout en plaquant sa tête durement au sol.

« -Doucement, Miller. Ne me force pas à te faire mal. J’ai été plutôt gentil jusqu’à maintenant, malgré la folle envie de te mettre mon poing à la figure. » Dit William le souffle un peu précipiter tout en le retenant tant bien que mal.

Toutefois, William n’avait pas remarqué que Miller avait un couteau de cuisine dans sa main libre. Avec un mouvement rapide, VLAME ! Il réussit à tourner la lame de son couteau au niveau du bras de William ! Heureusement, la lame n’avait fait que le frôler mais cela l’avait tout de même blessé. Une coupure profonde se voyait à présent au niveau de son bras, tâchant sa chemise blanche de sang. Cela lui faisait vraiment mal, mais il avait vue pire. Avec un petit grognement, William tordue encore plus le bras de Miller, jusqu’au moment ou un horrible craquement se fit entendre. Il avait brisé l’épaule de Miller, qui lâcha un hurlement de douleur en arrêtant de se débattre ! William donna un autre coup contre sa main afin qu’il relâche son couteau, et ça fut à son tour de prendre le couteau et de le mettre sous la gorge de Miller ! Cette fois, Miller ne bougeas plus, le souffle court en lui jetant un regard noir.

« -Tu bouge d’un cil et je te tranche la gorge, tu m’entend ?! Cette coupure me fait un mal de chien, mais je suis sûr que ton épaule briser te fait encore plus mal. » Dit-il froidement.

William appuya un peu sur la gorge de Miller, avec la lame du couteau. Une fine coupure commença à se faire voir…

« -Rosen ! » Intervenue Leiter en voyant que William s’emportait un peu trop.

William desserra un peu son emprise, mais il tenait toujours Miller immobile. Il redressa les yeux en direction de Leiter, le souffle un peu court.

« -Ça va, je ne le feras pas. Tant qu’il ne bouge pas. Alors, Miller, ont veux fuir les lieux ? Pourquoi donc ? » Dit-il en rapportant ses yeux sur Miller.

Celui-ci grimaça sans rien dire. Alors que au même moment, Blake descendait à son tour part l’escaliers de secourt. Il remarqua William qui tenait Miller immobile au sol, et l’Agent Leiter qui n’était non loin.

« -Ne le laisse surtout pas fuir, Jake. Stella et moi, nous avons trouver une grande preuve dans son appartement… Ce qui explique pourquoi il à tenter de fuir. » Dit Blake en souriant à William.